PADFA II

EMIME NDIHOKUBWAYO, Représentante FIDA Afrique Centrale :
« Le financement de ce Projet constitue la réponse du FIDA et du Fonds d’Adaptation au changement
climatique à l’orientation gouvernementale établie dans la stratégie de développement à l’horizon
2030, et le COSOP qui est le cadre de la coopération entre le FIDA et le Cameroun pour la période
2019-2024».
«La réussite D’ACREGIR représente un défi tous les égards, car ne dépendant pas uniquement de la
mise à disposition de moyens financiers qui lui sont alloués, mais aussi er surtout des capacités de de
la dynamique de l’équipe de son exécution ; de la rigueur de cette équipe dans la maîtrise de
l’application des mesures de gestion, des capacités à anticiper sur les difficultés ; et surtout les
synergies et la communication avec les autres acteurs intervenant fans le milieu, à commencer par
les bénéficiaires, les OP et leurs structures faîtières, mais aussi des partenaires techniques et
financiers dans une perspective de rechercher la complémentarité »
«Le présent atelier de lancement officiel du projet ACREGIR est donc pour le FIDA et le Fonds
d’Adaptation aux changements climatiques l’un des moments forts de la vie des projets car c’est
l’occasion pour les différentes parties prenantes, représentants du monde rural présents,
gouvernement, partenaires techniques et financiers, partenaires de mise en œuvre, structures
privées et associatives, de se réunir autour d’une table pour passer en revue les grandes
orientations, la stratégie et les activités prévues dans le cadre du projet, et apporter sa contribution
à sa bonne mise en œuvre ».
TCHAWA Paul, SG MINEPDED :
«Le projet ACREGIR est parfaitement articulé aux objectifs stratégiques de notre pays en matière de
développement durable tels qu’affichés dans notre boussole en la matière, à savoir la SND 30. Sur
un plan moins stratégique et plus opérationnel, le concept ACGREGIR est connecté à deux grands
programmes du MINEPDED : le Programme portant lutte contre les changements climatiques,
désertification et restauration des terres dégradées, et le Programme dédié à la conservation de la
biodiversité ».
«ACREGIR est un concept très séduisant, mais pas que : il est pratique et concret ».