À l’issue de la cérémonie officielle de lancement du projet ACREGIR, son principal responsable donné
un aperçu de ses perspectives :
«Pour atteindre nos objectifs, nous entendons axer toute l’action du Projet ACREGIR sur le concret,
notamment en nous basant sur l’existant actuel dans nos zones d’intervention.
Par exemple, dans le Nord-Ouest, zone 3 de notre nomenclature, nous allons élaborer et mettre en
œuvre le plan d’aménagement du plus jeune des parcs nationaux , Kimbi-Fungom, en relevant le défi
de sa conservation et de la gestion intégrée des ressources par les populations locales, tenant
compte de la situation sécuritaire ambiante : nous allons donc nous appuyer sur les ONG et les
administrations déjà sur le terrain.
S’agissant des parcs de Waza et de la Benoue, qui disposent déjà de plans d’aménagement, nous
allons orienter ceux-ci en y intégrant les questions de changements climatiques.
Plus généralement, ACREGIR va donner la priorité aux jeunes. Dans chacune de nos zones
d’intervention il en sera sélectionné pour les outiller dans le montage des business-plans, la
recherche des financements à travers les établissements de microfinance et la gestion la plus
efficiente possible de cet argent .
Je compte évidemment sur mon équipe pour que le Projet soit une réussite : il y va de l’image de
notre pays, puisque nous sommes financés par un don. Nous n’avons pas d’alternative que de
produire les résultats attendus par le bailleur » .
